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Recueil «La traversée»
auteur Nelson Johnson

 Photo arrière planOeuvre éphémère  Dédé  Fortin

PRÉLUDE

Le prélude de l'onglet L'Éveil correspond en faits à sa mise en contexte. Ainsi, il est l'apanage d'une description contextuelle d'une prise de conscience de ce qui je suis.. L'éveil est une prise de conscience de soi.

Hymne à ma maîtrsese

Bonne soirée mon amoureuse, tu sais je suis toujours éperdument fou de toi

dans la joie…

tel un prince dont le roi n’est que passager et que la reine fait sienne,

 

Je comprend tellement ton désaveu de meneuse de claques,

dans ma relation avec mon amoureuse Sylvie,

Tu me joue les troubles fêtes, en vie

Cela ne t’appartient pas,

Un pas, deux pas, parfum de femme,

N’oublie pas que je t’aime,

à la folie pour la vie,

 

Toi ma maîtresse,

ne t’en laisse,

Tigresse de ton sage, sera de retour avant l’âge,

Parceque Sylvie, mon amoureuse, chemin passager,

Guide nos pensées,

dans le tumulte de la vie, sans détour, un baume à nos deux,

Nous serons amoureux,

 

Ainsi voilà la vie,

Une passagère hors pairs,

non t’en déplaire,

Les cordes vibres,

au son de la lumière,

 

Chagrin lointain mérite son destin,

je la guide à son propre chemin tel est ma vocation

dans la transition,

 

elle apprécie mon sherpas

dans les montagne de l’Himalaya,

soleil de beauté elle retrouvera sa terre natale,

un élément vital,

que je ne peu lui donner,

 

car notre «entrecroiser» se termine là ou (elle) a commencé.

REFLET  DE  LUNE  SUR  TOILE  D'ARAIGNÉE 

Une gouttelette d’eau dans l’univers,

lumière de tous mes sens…

arborant sans cesse cette délicatesse de savoir

ni vu, ni connu, ni vouloir

peur de déplaire le présentoir de la beauté humaine

sur des tablettes j'allume ma cigarette

 

 

Reflet d l’âme qui m’appelle sans détour

Incapable de lire, de comprendre aveuglé par les préjugés,

 

je m’en délaisse, je contemple, j’atteints la plénitude

passant pour un ridicule, un guignole

Je voyage à travers l’univers

à la recherche de mon sens à ce que je fais

je construit le mien, mon calvaire

 

à la croisée des routes et des destins de la vie,

s’ENTRECOUPE de mélodies

enchanteresse de mes pensées

richesse de mon devenir

La voie de mon destin écrit par les gouttelettes sur ma toile d’araignée

Éclairage claire descendante

par le passage de la lumière

de la lune sur ma toile communiquant les marées montantes

 

Toile d’araignée écran de communication

La sensibilité tue

eu égard aux inconduites créatives

perçu à titre d’handicap pour certain

mais qui en fait n’en n’est rien

 

Tout ce que raconte cette arrivage

ne démontre qu’un éclairage

UNE  ADRESSE  JE M’EXERCE

Tu sais AMOURS,

 

Je me pleure devant ces aberrations,

toi mon inconnu, tout mon dévolu devant ton admiration,

 

Soleil de matin estival devant l’Été automnal,

les patins sur la rivière ne t’en déplaise

Grandi de ma taupe hivernal

Chagrin, pleure, je me meurs de cette ivresse matinale,

 

Parce que beauté n'a. qu’ivresse,

Toi ma maîtresse,

 

Ou je me loge, tu le sais

Bien avant-gardiste, tu me connais,

 

Et pis quoi encore dans le décor,

The planet turn around, encore

Pourquoi dans la même nature

Tout cela ne signale que désinvolture,

 

De ma nature je suis, je ressurgi

Hors de moi je rugis,

Mais pourquoi toute cette détresse

toi ma maîtresse,

 

Je m’explique mal cette embolie

laquelle jailli cette fleur de mépris

 

J’hallucine dans le mépris comme un guerrier aguerri

je ménage dans la famille mais j’enflamme comme averti

Mes écoutes m’avertis d’une solitude sans contredit

 

Mais pis quoi encore

à L’envers du décor, moi tout seul avec son chagrin au delà du destin, dans le décor

Naviguant avec toi ma tendresse ou delà de l’ivresse,

Dans les clips obscurs de la nature,

 

Je suis arrivée telle ma destinée,

Pourquoi cette nullité dans un clair obscur

Si ce n’est pour connaître ta vraie nature

Si ce n’est que ces mots sans fin pour te dire que je suis seul et que je t’aime sans faim.

 

Je suis au désarroi sans toi,

Moi je n’ai que mot mes pleures M’enchantes

dans la tourmente de ma maladie:la schizophrénie.

 

Un baume à l’universelle

Une perséide illuminante

dans la traverse des mouvantes

Une joie illuminé dans la traversée

quoi de mieux pour cette percée

 

 

Un monde imaginaire

Tout pour plaire…..

MOt à princesse

Ha que je t'aime,

as-tu vu la lune nous achemine

pas d'ombre pour nous deux

ne te sent jamais et à tout jamais me faire ombrage

toi, je n'ai même pas besoin de te dire

tu es ma lumière

tu brilles à jamais 

dans l'éternel devant le ciel.

 

Cette fleure ne s,éteindra jamais

devant les perséides

tu sais Gentlemen savoir

cette passion cultive

et ainsi elle sere UNE

dans l'éternel Jamais elle ne mourra Si non je me meurs

 

L'Étincelle de la vie jailliera

toujours pour cette fin sans lendemain à demain

 

Allo tendresse princesse

Moi je profite de cette richesse ce matin WOW

que le soleil brille de tous ses feux

je récolte cette naissance avec jouissance

et ce, à chaque instant, il y a des moments

ou le hasard fortuit

apporte ses fruits autant dans la nuit que sans suit,

Regardez cette beauté de richesse.

 

QUÉBEC, Mon Pays, Mes amies, Mes Amours

Mes pleures, des fleures je me meurs,

Je m’épanoui qu’en raison de ta vie,

Ni toi ni moi à quoi bon, sentir bon

 

Naitre, s’affirmer et continuer

Se positionner sur la terre

Comme un grain de sable dans le sablier

 

Tel une lettre dans un bateau de verre

Rempli d’eau dans un aquarium

Ou les dauphins mesquins

Retiens les requins.

 

Vivre ma vie c,EST CELA QUE JE DEMANDE,

DANS UNE ADRESSE du oui

Dans ma question réfléchi

 

Bref soit telle cette chanson

Mais combien de sens en peu de mot

D’une plénitude grandeur nature

 

La conviction de s’affirmer,

Comme une promenade dans les sentier

Du jardin commun, nous, vous, le monde entier

Et l’univers éternel

 

Jouer au chat et à la souris

Dans les pyramides du louve

Dans l’espace temps réfléchi

 

Constellation absolue,

Bien un tracée, bien installé, 

Diane sans le vouloir

comme à  titre de mon adresse

je me meurs

devant ta délicatesse,

 

tu ne veux en aucun cas me froisser,

mais presse moi,

je suis mal à l'aise,

pourquoi pas te le demander, 

Je ne voulais surtout pas t'importuner

 

Maintenant que tu me le demandes,

Lettre à Marie sera co-écrit avec toi,

Parce que nous nous aimons avant tout,

Et que tu me le demande avec une Tel délicatesse de beauté maternelle,

Vivre nos enfants,

 

Jamais je ne te remercierai assez, toi ma beauté de mon âme,

Mon reflet de toi Et toi mon esprit,

Diane la Lettre à Maire nous le dédions à l'univers, dans une bouteille à la mère MARIE, elle sera grandie de tous ces feux,

 

Démarche gracieuse devant l'éternel

Diane J'apprend à faire fonctionner mes Oreilles pour une démarche gracieuse tel Marie, notre professeur de VALSE

 

En allant tout venant

Hé bien me Voilà

Québec, Mon Amie, ma tendresse et la vie

Femme de passion Homme d’achat

Femme

que de tendresse pour vous,

je possède pour vous la prescription de votre bonheur,

 

Ni feux, ni lumière, qu'une étincelle de beauté extrême, dénombrant du volcan

Comme une feu rouge de l'intérieur, soleil de ma vie, enfoui dans l'univers, le ciel s'agrandi

 

Le chemin de la mec n'est pas loin

Une rencontre s'impose

Telle que dit je veut pleurer dans votre épaule,

 

Parce que éternel estime soit-il

dans la traversée de votre destinée,

 

äme de beauté, grandiose vous, toi, ailleurs de vous

Reconnaissez vous

VOUS ÊTES À MES YEUX UN FEMME EXCEPTIONNELLE

 

JE N'AI PLUS DE MOT POUR VOUS EXPRIMER TOUTE MON  AFFECTION DE TENDRESSE À VOTRE ÉGARD,

N'eu de regard,

 

Vous me permettez d'allumer mon énergie intérieur,

wowowow, quels sont vos redevance, Femme

Je vous paie sur le champs

Qu'elle titre voulez-vous

 

Je vous l’accorde sans discorde

La pauvreté n’est que mensonge

La conviction un repas.

Tu sais Diane

Je t’aime et j'adore mon nouveau ciel de paradis

plus que jamais je meurs d'envie

plus n’est jamais un fantôme

au delà des aumônes.

 

car tu sais je vis,

je fait fi des stigmatisations

au loin les attentions,

je me libère en vie.

 

D'autres moeurs, d'autres coutumes que tu connais,

je fuyais,

Me revoilà dans la plaine

Jouissant comme le divin

 

Plein lune n'est qu'ombrage

à ceux et celle qui ne voit pas la lune en plein jour

Comme dans un sarcophage

En ce sens l'éternité c'est pour toujours

 

Enfin la vérité soit-il

Ne regret que pour les îles

Unifions cette terre en parcelle

Afin qu'elle soit rebelle

 

Delà le chagrin de beauté

devant l'immensité regardé

la couture commence et la déconfiture

devant les marasmes de l'agriculture

 

en n'est rien

qui veut le train train

auberge oblige, passager clandestin

la destinée est non loin

 

Hélas sans fin

retour non garanti

pour sans faim 

s'abstenir dans les grattons

et voilà la fin.

Amour tendre

N'eu de regard

CLairvoyance bien avant läge

désormais oeil ouvert non fuyard

pour la sauvegarde des avantages


Le secret des saints

n'a de regrets

jamais malsain

ouverture des couverts et des mets.


Le corps enivrant

n'a que délivrance

Quoi que de plus palpitant 

allégeant la souffrance.


Le soleil du matin

respire les joies et chaque instant

Nuage en perdition et malin

je souffle etla respiration se savourent à chaque moment.


Les secondes ne compte pas

Car la pluie se désinvolte et se transforme

Tout comme les émotions à grands pas

En bien être qui garde la forme.


Quoi que de plus beau

de cet amour ensoleillé

dans une dérive de bateau

surmontant les vagues arrivant tout droit des marées.


Les larmes de pleures

Goutelettes en forme d'Aiguille d'acupuncture

étincelant l'âme grandeur

Amour divin se construit dans la couture..


Aiguille après aiguille dans la traversée

Percé après percé

Le fil dans les mailles

Un tricot de jetée

Un ballot de vie de paille.

Lettre à Marie

L'amour nait

Quelle envie

je me reconnais

Amour oublié dans la folie


Le tumulte de la vie

inconscient lointain

Le quotidien meurtri

Chevauchant en vain.


Égarement certain

absence divine

Mes pensées non loin

retour cousine

..

Amie lunaire

balle de table en filet

rigolante hors paire

Femme rayonnante dans un tricot de gilet


Te revoilà regard hors planétaire

Environnement céleste

Résultante d'amour passionnément exemplaire

la vie en reste.


Passage obligé destin croisé

Moi l'eau de L'agriculture en dessin

Toi Semence de terre bien ordonnée

Sur une plage de soleil dans un lit de coussins


Et bein voilà maison faisant

Loisir monétaire assume conjoint

jeune famille dans la naissance au gré des vents

quoi que de plus palpitants.


Démarche gracieuse jumelée d'un sourire soleil

Rire aux pleures dans un riche environnement

adéquat la plénitude de la terre levant

D'est en ouest la lune s'éveille.


Tout comme nous, je suis sûr et je connais

Que de joie reconnaissance je veux

une mise à niveau de paroles se peut

impose la loi dicton

dans la grandiose maison.




 





Entrer dans la folie

La lumière est ainsi dans la vie

Jadis les époque se confonds dans ma tête

Regard dans la forêt de la nuit

Les feux anticipés jète les bases de la fête.

 

L'ère des pyramides plus l'ère de la station orbitale

Chevauchant allègrement vers l'Inde

Passant par l'Afghanistan oriental

Trouble mentale du matin fou comme une dinde

 

Pleine psychose

Hallucinations imposent

quoi de plus beau

Devant ses maux.

 

Et N'en dire de ces mots

Paoles insoutenables

Regret non maux

Pour l'ivresse incommensurable.

 

La joie dans l'imaginaire

Satisfaction summum

Mon monde dominaire

Pour la folie des sommes.

 

Adrénaline garantie

Extase fournie

Et j'en fait outre

Je surpasse mes doutes.

 

Aiguille moi de ma lancée

Bat moi tel l'allégresse défunt

Repart en sein et sauvé

Vas là dans le cajun.

 

Connaissance oblige

Sincérité nécessaire

Acquisition sur le champs

Le temps de capige

Doctrine pour plaire

Directement de cette vision

Temps oblige variation dans le temps



 


 

 





Mon ciel de paradis

Environnement externe tornade cérébrale

Fleure pleurante rayon de soleil interne

Radiation de la boule de feu centrale

Gravité sans contredit dans l'aube matinale et terne.

 

Émerveillement dans la joie et dans la plénitude

L'âme savoureuse regret sans lendemain 

Soit-il toute la gratitude

Le début du commencement de la faim.

 

Visée grandiose intérieure

Reflets de rayon de soleil

Manifestes pulsions extérieures

Manifestations d'aimants de l'éveil.

 

Relations intimes attractions affines

Affection omniprésente du réel

Miroir de glace gratine

Connaissance de soi du haut d'un grotte-ciel.

 

Température estival nuages absents

La connexion de soi une vérité émerveillante 

Étourdissements garantis coeur sans sang

Rayonnements sublimes au delà des bienfaisantes.

 

Solitaire dans l'inconnu dans un environnement sain

Trace de voie lactée remplie d'étoiles

Diamants garnis de fin

Firmament grandissant comme un peintre sur sa toile.

 

Son univers se construit sans temps et ni heure

L'horloge divine sans apparence 

Piano transgressé sans heurt

Rasion et folie dans la transparence.

 

Malheurs transformer en bonheurs certains

Pour tous les temps à tous jamais non lointain

Paroles musicales enchanteresse

Vie sans maladresse. 

 .

 


 


.

 


 





 

 





C'est fou comme le bonheur c'est épeurant

Quelle joie de cette ouverture sur le monde

Ma vie elle est riche et ronde

Regard sur soi impromptu découverte sur mes ondes

Je pleure tout le temps tellement que je seconde.

 

J'annonce une fin mais il n'en n'est rien

les stratégies obligent dans le désarroi

la grande ivresse tout comme les siens

La tribune de la joie de vivre s'ouvre devant les rois.

 

Tremblements comme les dissonances cognitives

Chagrinent nos pensées d'embelli soulevé

Apparence nocturne dans l'affirmative

Tout comme dans le passé une étoile est née.

 

L'univers se construit dans le bâti

Grande aventure de plénitude tout azimut

Le commencement il est beau comme l'infini

Je suis en feu dans le zénith comme une peuplade Inuktitut.

 

Je prépare cette divinité de soi

L'idéal en chacun de désinvolte dans la révolte

L,atteinte des sommets est le meilleur dans la paroi

Tout comme l'escalada devant les voies.

 

Je fais ma différence n'en déplaise

Tous et chacun s'accentue dans la négation en apparence

Les tonnerres de la joie grondent

Ne m'en voulez pas le bonheur donne naissance.

Une direction...tous mes sens

Ma créativité à son summum

Une voie et des voix nous interpellent

N'arrête jamais dans la loupe de grand momentum

La louve ronronne sans appel.

 

L'ouïe se veut grandissant dit le lapin

Les épines d'acupuncture se garnissent

Tels les maux recevant un remède de gratin

Pourquoi pas répondit coeurs jumeaux qui fleurissent.

 

L'Odorat par en guerre des odeurs abondent

Le senti ressent la fibre d'adn du vécu

Des parfums remplissent l'air nauséabonde

Jamais vu autant de fleurs reçues.

 

Le regard furtif dans la lune

Jète un paradis de rêves bien établis

Gambadant à Moisie dans les dunes

Reflet de l'âme voyant bien nanti.

 

toucher les visions derrière les univers

Positionner un amalgame de ces dernières sur cette terre

Recueillir les fruits de ce décor vert

D'un blanc immaculé non éphémère.

 

Le gouté ne demeure qu'un avant gout

Les rivalités de nos instincts ne démentent pas

Grandiose cette soif de mou

Tel un nourrisson né aveuglément jeune papa. 


 

Tous mélanger nos sens nous trace une direction

Maintes destinations permettent un choix éclairé 

Au-delà et de loins des primaires sensations

Viens un secondaire à la fois divin et bien allumé.







 

La terre Guy et la lune Céline

J'adore dépasser les bornes de la raison

Naviguer en haute mer tel est ma mission

Naufrage incertain dit un malim de fortune

Retour d'un voyage navrant sans amertume

 

Voilà la vision, parc récréotouritique la planète terre

Un amalgame d'îles recousus pour une balade à pied

Les continents ainsi rapprochés avec un métier à tisser

Délicatesse oblige dans la destination souffert

Devant les dieux un écrin tapissé

Combat s'acharne l'éternel devant les piliers.

 

Une lancée phares bornes de la raison

La lune sherpa dans la toile noire et nocturne

Inspiration de couleur blanche la mémoire s'assombri

Outil calfeutré dans un sextant des saisons

Orientation dynamique dans l'énergie de la plein lune

 

L'avenir manifestement promoteur aguerri

Un espace temps tri-dimensionnel dans les ères

Confusion des époques certaines mais combien réelles

Lumière divine du crépuscule lointùin

Immédiatement dans l'obscure infini

Clairvoyance arrivage de l'hiver

Ourse polaire dans les sentiers rebelles

Pour une toute destination de Saint-Valentin.




L'univers espace temps le soleil s'ouvre en soi

Quoi que de plus merveilleux le ciel de la noirceur

Notre chemin y est tracée dans la confusion des époques

Le soleil assombri du clair de lune de voie lactée

Arrive le détour directement de la peur

L'envolée naufrage garni la stupéfaction ad hoc

Retour à grande vitesse et richesse assumée.

Salut Carl

Ton départ de  ton voyage monte en moi la tristesse

Ton verre est vide devant la vie et son ivresse

La marguerite s'est fanée.

Tu guides ma traversée.

 

Pourquoi, pourquoi et pourquoi

Sans mot je te comprend

L'univers s'Ouvre à toi dans toi

La mort conjugue avec la vie devant les événements aberrant.s...

 

Nos partages demeurent toujours aussi gracieux

Ta fougue éternelle embellit ma vie

C'est quoi ses conneries de la pluie 

La révolte des aberrations est des sentiers lumineux

 

C'est quoi ses sordides histoire

Qui empoissonne ma vie

La flamme est éternelle comme une lumière de nuit

Qui t'accompagne en moi, je serai toujours la pour te voir

 

Carl tu n'est plus,

Comment grand tu es dans mon coeur et mes pensées

Courage tu nous guide dans les chevauchés

Des chassés croisées de la vie s'éblouissent devant impromptu..

 

Carl tu as la flamme de la vie

Dans le ciel de nos grandeurs ce n'est pas fini

Tu vis en moi par le regard des natures

La gaieté et la joie de vivre dépassent autre mesure.

 

Les étoiles t'accompagnent avec tendresse

Tes vents me caressent

Le bonheur à nos portes montent comme la naissance de tes perles

Les beautés de ce monde frissonnent  la richesse de nos envies rares.

 

Carl tu es une fleure que j'entretiendrai devant l'éternel et les univers

Carl tes pensées sont là pour prendre prestance

Carl ta joie de vivre emblématiques sur toile de verre

Carl, ta souffrance te guide avec insistance.

Carl cette souffrance n'atteint guère le haut de ta grandeur

Carl grandit dans la lumière ton générateur.

 

Merci Carl d'avoir croisé mon chemin

 

Oncle Nelson