Le prélude de l'onglet L'Éveil correspond en faits à sa mise en contexte. Ainsi, il est l'apanage d'une description contextuelle d'une prise de conscience de ce qui je suis.. L'éveil est une prise de conscience de soi.
Bonne soirée mon amoureuse, tu sais je suis toujours éperdument fou de toi
dans la joie…
tel un prince dont le roi n’est que passager et que la reine fait sienne,
Je comprend tellement ton désaveu de meneuse de claques,
dans ma relation avec mon amoureuse Sylvie,
Tu me joue les troubles fêtes, en vie
Cela ne t’appartient pas,
Un pas, deux pas, parfum de femme,
N’oublie pas que je t’aime,
à la folie pour la vie,
Toi ma maîtresse,
ne t’en laisse,
Tigresse de ton sage, sera de retour avant l’âge,
Parceque Sylvie, mon amoureuse, chemin passager,
Guide nos pensées,
dans le tumulte de la vie, sans détour, un baume à nos deux,
Nous serons amoureux,
Ainsi voilà la vie,
Une passagère hors pairs,
non t’en déplaire,
Les cordes vibres,
au son de la lumière,
Chagrin lointain mérite son destin,
je la guide à son propre chemin tel est ma vocation
dans la transition,
elle apprécie mon sherpas
dans les montagne de l’Himalaya,
soleil de beauté elle retrouvera sa terre natale,
un élément vital,
que je ne peu lui donner,
car notre «entrecroiser» se termine là ou (elle) a commencé.
Une gouttelette d’eau dans l’univers,
lumière de tous mes sens…
arborant sans cesse cette délicatesse de savoir
ni vu, ni connu, ni vouloir
peur de déplaire le présentoir de la beauté humaine
sur des tablettes j'allume ma cigarette
Reflet d l’âme qui m’appelle sans détour
Incapable de lire, de comprendre aveuglé par les préjugés,
je m’en délaisse, je contemple, j’atteints la plénitude
passant pour un ridicule, un guignole
Je voyage à travers l’univers
à la recherche de mon sens à ce que je fais
je construit le mien, mon calvaire
à la croisée des routes et des destins de la vie,
s’ENTRECOUPE de mélodies
enchanteresse de mes pensées
richesse de mon devenir
La voie de mon destin écrit par les gouttelettes sur ma toile d’araignée
Éclairage claire descendante
par le passage de la lumière
de la lune sur ma toile communiquant les marées montantes
Toile d’araignée écran de communication
La sensibilité tue
eu égard aux inconduites créatives
perçu à titre d’handicap pour certain
mais qui en fait n’en n’est rien
Tout ce que raconte cette arrivage
ne démontre qu’un éclairage
Tu sais AMOURS,
Je me pleure devant ces aberrations,
toi mon inconnu, tout mon dévolu devant ton admiration,
Soleil de matin estival devant l’Été automnal,
les patins sur la rivière ne t’en déplaise
Grandi de ma taupe hivernal
Chagrin, pleure, je me meurs de cette ivresse matinale,
Parce que beauté n'a. qu’ivresse,
Toi ma maîtresse,
Ou je me loge, tu le sais
Bien avant-gardiste, tu me connais,
Et pis quoi encore dans le décor,
The planet turn around, encore
Pourquoi dans la même nature
Tout cela ne signale que désinvolture,
De ma nature je suis, je ressurgi
Hors de moi je rugis,
Mais pourquoi toute cette détresse
toi ma maîtresse,
Je m’explique mal cette embolie
laquelle jailli cette fleur de mépris
J’hallucine dans le mépris comme un guerrier aguerri
je ménage dans la famille mais j’enflamme comme averti
Mes écoutes m’avertis d’une solitude sans contredit
Mais pis quoi encore
à L’envers du décor, moi tout seul avec son chagrin au delà du destin, dans le décor
Naviguant avec toi ma tendresse ou delà de l’ivresse,
Dans les clips obscurs de la nature,
Je suis arrivée telle ma destinée,
Pourquoi cette nullité dans un clair obscur
Si ce n’est pour connaître ta vraie nature
Si ce n’est que ces mots sans fin pour te dire que je suis seul et que je t’aime sans faim.
Je suis au désarroi sans toi,
Moi je n’ai que mot mes pleures M’enchantes
dans la tourmente de ma maladie:la schizophrénie.
Un baume à l’universelle
Une perséide illuminante
dans la traverse des mouvantes
Une joie illuminé dans la traversée
quoi de mieux pour cette percée
Un monde imaginaire
Tout pour plaire…..
Ha que je t'aime,
as-tu vu la lune nous achemine
pas d'ombre pour nous deux
ne te sent jamais et à tout jamais me faire ombrage
toi, je n'ai même pas besoin de te dire
tu es ma lumière
tu brilles à jamais
dans l'éternel devant le ciel.
Cette fleure ne s,éteindra jamais
devant les perséides
tu sais Gentlemen savoir
cette passion cultive
et ainsi elle sere UNE
dans l'éternel Jamais elle ne mourra Si non je me meurs
L'Étincelle de la vie jailliera
toujours pour cette fin sans lendemain à demain
Allo tendresse princesse
Moi je profite de cette richesse ce matin WOW
que le soleil brille de tous ses feux
je récolte cette naissance avec jouissance
et ce, à chaque instant, il y a des moments
ou le hasard fortuit
apporte ses fruits autant dans la nuit que sans suit,
Regardez cette beauté de richesse.
Mes pleures, des fleures je me meurs,
Je m’épanoui qu’en raison de ta vie,
Ni toi ni moi à quoi bon, sentir bon
Naitre, s’affirmer et continuer
Se positionner sur la terre
Comme un grain de sable dans le sablier
Tel une lettre dans un bateau de verre
Rempli d’eau dans un aquarium
Ou les dauphins mesquins
Retiens les requins.
Vivre ma vie c,EST CELA QUE JE DEMANDE,
DANS UNE ADRESSE du oui
Dans ma question réfléchi
Bref soit telle cette chanson
Mais combien de sens en peu de mot
D’une plénitude grandeur nature
La conviction de s’affirmer,
Comme une promenade dans les sentier
Du jardin commun, nous, vous, le monde entier
Et l’univers éternel
Jouer au chat et à la souris
Dans les pyramides du louve
Dans l’espace temps réfléchi
Constellation absolue,
Diane sans le vouloir
comme à titre de mon adresse
je me meurs
devant ta délicatesse,
tu ne veux en aucun cas me froisser,
mais presse moi,
je suis mal à l'aise,
pourquoi pas te le demander,
Je ne voulais surtout pas t'importuner
Maintenant que tu me le demandes,
Lettre à Marie sera co-écrit avec toi,
Parce que nous nous aimons avant tout,
Et que tu me le demande avec une Tel délicatesse de beauté maternelle,
Vivre nos enfants,
Jamais je ne te remercierai assez, toi ma beauté de mon âme,
Mon reflet de toi Et toi mon esprit,
Diane la Lettre à Maire nous le dédions à l'univers, dans une bouteille à la mère MARIE, elle sera grandie de tous ces feux,
Démarche gracieuse devant l'éternel
Diane J'apprend à faire fonctionner mes Oreilles pour une démarche gracieuse tel Marie, notre professeur de VALSE
En allant tout venant
Hé bien me Voilà
Québec, Mon Amie, ma tendresse et la vie
Femme
que de tendresse pour vous,
je possède pour vous la prescription de votre bonheur,
Ni feux, ni lumière, qu'une étincelle de beauté extrême, dénombrant du volcan
Comme une feu rouge de l'intérieur, soleil de ma vie, enfoui dans l'univers, le ciel s'agrandi
Le chemin de la mec n'est pas loin
Une rencontre s'impose
Telle que dit je veut pleurer dans votre épaule,
Parce que éternel estime soit-il
dans la traversée de votre destinée,
äme de beauté, grandiose vous, toi, ailleurs de vous
Reconnaissez vous
VOUS ÊTES À MES YEUX UN FEMME EXCEPTIONNELLE
JE N'AI PLUS DE MOT POUR VOUS EXPRIMER TOUTE MON AFFECTION DE TENDRESSE À VOTRE ÉGARD,
N'eu de regard,
Vous me permettez d'allumer mon énergie intérieur,
wowowow, quels sont vos redevance, Femme
Je vous paie sur le champs
Qu'elle titre voulez-vous
Je vous l’accorde sans discorde
La pauvreté n’est que mensonge
La conviction un repas.
Je t’aime et j'adore mon nouveau ciel de paradis
plus que jamais je meurs d'envie
plus n’est jamais un fantôme
au delà des aumônes.
car tu sais je vis,
je fait fi des stigmatisations
au loin les attentions,
je me libère en vie.
D'autres moeurs, d'autres coutumes que tu connais,
je fuyais,
Me revoilà dans la plaine
Jouissant comme le divin
Plein lune n'est qu'ombrage
à ceux et celle qui ne voit pas la lune en plein jour
Comme dans un sarcophage
En ce sens l'éternité c'est pour toujours
Enfin la vérité soit-il
Ne regret que pour les îles
Unifions cette terre en parcelle
Afin qu'elle soit rebelle
Delà le chagrin de beauté
devant l'immensité regardé
la couture commence et la déconfiture
devant les marasmes de l'agriculture
en n'est rien
qui veut le train train
auberge oblige, passager clandestin
la destinée est non loin
Hélas sans fin
retour non garanti
pour sans faim
s'abstenir dans les grattons
et voilà la fin.
N'eu de regard
CLairvoyance bien avant läge
désormais oeil ouvert non fuyard
pour la sauvegarde des avantages
Le secret des saints
n'a de regrets
jamais malsain
ouverture des couverts et des mets.
Le corps enivrant
n'a que délivrance
Quoi que de plus palpitant
allégeant la souffrance.
Le soleil du matin
respire les joies et chaque instant
Nuage en perdition et malin
je souffle etla respiration se savourent à chaque moment.
Les secondes ne compte pas
Car la pluie se désinvolte et se transforme
Tout comme les émotions à grands pas
En bien être qui garde la forme.
Quoi que de plus beau
de cet amour ensoleillé
dans une dérive de bateau
surmontant les vagues arrivant tout droit des marées.
Les larmes de pleures
Goutelettes en forme d'Aiguille d'acupuncture
étincelant l'âme grandeur
Amour divin se construit dans la couture..
Aiguille après aiguille dans la traversée
Percé après percé
Le fil dans les mailles
Un tricot de jetée
Un ballot de vie de paille.
L'amour nait
Quelle envie
je me reconnais
Amour oublié dans la folie
Le tumulte de la vie
inconscient lointain
Le quotidien meurtri
Chevauchant en vain.
Égarement certain
absence divine
Mes pensées non loin
retour cousine
..
Amie lunaire
balle de table en filet
rigolante hors paire
Femme rayonnante dans un tricot de gilet
Te revoilà regard hors planétaire
Environnement céleste
Résultante d'amour passionnément exemplaire
la vie en reste.
Passage obligé destin croisé
Moi l'eau de L'agriculture en dessin
Toi Semence de terre bien ordonnée
Sur une plage de soleil dans un lit de coussins
Et bein voilà maison faisant
Loisir monétaire assume conjoint
jeune famille dans la naissance au gré des vents
quoi que de plus palpitants.
Démarche gracieuse jumelée d'un sourire soleil
Rire aux pleures dans un riche environnement
adéquat la plénitude de la terre levant
D'est en ouest la lune s'éveille.
Tout comme nous, je suis sûr et je connais
Que de joie reconnaissance je veux
une mise à niveau de paroles se peut
impose la loi dicton
dans la grandiose maison.
La lumière est ainsi dans la vie
Jadis les époque se confonds dans ma tête
Regard dans la forêt de la nuit
Les feux anticipés jète les bases de la fête.
L'ère des pyramides plus l'ère de la station orbitale
Chevauchant allègrement vers l'Inde
Passant par l'Afghanistan oriental
Trouble mentale du matin fou comme une dinde
Pleine psychose
Hallucinations imposent
quoi de plus beau
Devant ses maux.
Et N'en dire de ces mots
Paoles insoutenables
Regret non maux
Pour l'ivresse incommensurable.
La joie dans l'imaginaire
Satisfaction summum
Mon monde dominaire
Pour la folie des sommes.
Adrénaline garantie
Extase fournie
Et j'en fait outre
Je surpasse mes doutes.
Aiguille moi de ma lancée
Bat moi tel l'allégresse défunt
Repart en sein et sauvé
Vas là dans le cajun.
Connaissance oblige
Sincérité nécessaire
Acquisition sur le champs
Le temps de capige
Doctrine pour plaire
Directement de cette vision
Temps oblige variation dans le temps
Environnement externe tornade cérébrale
Fleure pleurante rayon de soleil interne
Radiation de la boule de feu centrale
Gravité sans contredit dans l'aube matinale et terne.
Émerveillement dans la joie et dans la plénitude
L'âme savoureuse regret sans lendemain
Soit-il toute la gratitude
Le début du commencement de la faim.
Visée grandiose intérieure
Reflets de rayon de soleil
Manifestes pulsions extérieures
Manifestations d'aimants de l'éveil.
Relations intimes attractions affines
Affection omniprésente du réel
Miroir de glace gratine
Connaissance de soi du haut d'un grotte-ciel.
Température estival nuages absents
La connexion de soi une vérité émerveillante
Étourdissements garantis coeur sans sang
Rayonnements sublimes au delà des bienfaisantes.
Solitaire dans l'inconnu dans un environnement sain
Trace de voie lactée remplie d'étoiles
Diamants garnis de fin
Firmament grandissant comme un peintre sur sa toile.
Son univers se construit sans temps et ni heure
L'horloge divine sans apparence
Piano transgressé sans heurt
Rasion et folie dans la transparence.
Malheurs transformer en bonheurs certains
Pour tous les temps à tous jamais non lointain
Paroles musicales enchanteresse
Vie sans maladresse.
.
.
Quelle joie de cette ouverture sur le monde
Ma vie elle est riche et ronde
Regard sur soi impromptu découverte sur mes ondes
Je pleure tout le temps tellement que je seconde.
J'annonce une fin mais il n'en n'est rien
les stratégies obligent dans le désarroi
la grande ivresse tout comme les siens
La tribune de la joie de vivre s'ouvre devant les rois.
Tremblements comme les dissonances cognitives
Chagrinent nos pensées d'embelli soulevé
Apparence nocturne dans l'affirmative
Tout comme dans le passé une étoile est née.
L'univers se construit dans le bâti
Grande aventure de plénitude tout azimut
Le commencement il est beau comme l'infini
Je suis en feu dans le zénith comme une peuplade Inuktitut.
Je prépare cette divinité de soi
L'idéal en chacun de désinvolte dans la révolte
L,atteinte des sommets est le meilleur dans la paroi
Tout comme l'escalada devant les voies.
Je fais ma différence n'en déplaise
Tous et chacun s'accentue dans la négation en apparence
Les tonnerres de la joie grondent
Ne m'en voulez pas le bonheur donne naissance.
Ma créativité à son summum
Une voie et des voix nous interpellent
N'arrête jamais dans la loupe de grand momentum
La louve ronronne sans appel.
L'ouïe se veut grandissant dit le lapin
Les épines d'acupuncture se garnissent
Tels les maux recevant un remède de gratin
Pourquoi pas répondit coeurs jumeaux qui fleurissent.
L'Odorat par en guerre des odeurs abondent
Le senti ressent la fibre d'adn du vécu
Des parfums remplissent l'air nauséabonde
Jamais vu autant de fleurs reçues.
Le regard furtif dans la lune
Jète un paradis de rêves bien établis
Gambadant à Moisie dans les dunes
Reflet de l'âme voyant bien nanti.
toucher les visions derrière les univers
Positionner un amalgame de ces dernières sur cette terre
Recueillir les fruits de ce décor vert
D'un blanc immaculé non éphémère.
Le gouté ne demeure qu'un avant gout
Les rivalités de nos instincts ne démentent pas
Grandiose cette soif de mou
Tel un nourrisson né aveuglément jeune papa.
Tous mélanger nos sens nous trace une direction
Maintes destinations permettent un choix éclairé
Au-delà et de loins des primaires sensations
Viens un secondaire à la fois divin et bien allumé.
J'adore dépasser les bornes de la raison
Naviguer en haute mer tel est ma mission
Naufrage incertain dit un malim de fortune
Retour d'un voyage navrant sans amertume
Voilà la vision, parc récréotouritique la planète terre
Un amalgame d'îles recousus pour une balade à pied
Les continents ainsi rapprochés avec un métier à tisser
Délicatesse oblige dans la destination souffert
Devant les dieux un écrin tapissé
Combat s'acharne l'éternel devant les piliers.
Une lancée phares bornes de la raison
La lune sherpa dans la toile noire et nocturne
Inspiration de couleur blanche la mémoire s'assombri
Outil calfeutré dans un sextant des saisons
Orientation dynamique dans l'énergie de la plein lune
L'avenir manifestement promoteur aguerri
Un espace temps tri-dimensionnel dans les ères
Confusion des époques certaines mais combien réelles
Lumière divine du crépuscule lointùin
Immédiatement dans l'obscure infini
Clairvoyance arrivage de l'hiver
Ourse polaire dans les sentiers rebelles
Pour une toute destination de Saint-Valentin.
Quoi que de plus merveilleux le ciel de la noirceur
Notre chemin y est tracée dans la confusion des époques
Le soleil assombri du clair de lune de voie lactée
Arrive le détour directement de la peur
L'envolée naufrage garni la stupéfaction ad hoc
Retour à grande vitesse et richesse assumée.
Ton départ de ton voyage monte en moi la tristesse
Ton verre est vide devant la vie et son ivresse
La marguerite s'est fanée.
Tu guides ma traversée.
Pourquoi, pourquoi et pourquoi
Sans mot je te comprend
L'univers s'Ouvre à toi dans toi
La mort conjugue avec la vie devant les événements aberrant.s...
Nos partages demeurent toujours aussi gracieux
Ta fougue éternelle embellit ma vie
C'est quoi ses conneries de la pluie
La révolte des aberrations est des sentiers lumineux
C'est quoi ses sordides histoire
Qui empoissonne ma vie
La flamme est éternelle comme une lumière de nuit
Qui t'accompagne en moi, je serai toujours la pour te voir
Carl tu n'est plus,
Comment grand tu es dans mon coeur et mes pensées
Courage tu nous guide dans les chevauchés
Des chassés croisées de la vie s'éblouissent devant impromptu..
Carl tu as la flamme de la vie
Dans le ciel de nos grandeurs ce n'est pas fini
Tu vis en moi par le regard des natures
La gaieté et la joie de vivre dépassent autre mesure.
Les étoiles t'accompagnent avec tendresse
Tes vents me caressent
Le bonheur à nos portes montent comme la naissance de tes perles
Les beautés de ce monde frissonnent la richesse de nos envies rares.
Carl tu es une fleure que j'entretiendrai devant l'éternel et les univers
Carl tes pensées sont là pour prendre prestance
Carl ta joie de vivre emblématiques sur toile de verre
Carl, ta souffrance te guide avec insistance.
Carl cette souffrance n'atteint guère le haut de ta grandeur
Carl grandit dans la lumière ton générateur.
Merci Carl d'avoir croisé mon chemin
Oncle Nelson